👉 Et si une app française de «social discovery» avait la solution pour lutter contre la solitude ? Une saga du mercredi en mode cocorico, coco.
☕️ Hello, c’est David. J’aime quand ce sont des sujets dont on a parlé ici en amènent d’autres. C’est en lisant la newsletter consacrée à l’addiction aux réseaux sociaux (et les moyens d’en sortir) qu’un ami m’a demandé si je connaissais Yubo. Alors non, je ne connaissais pas (j’ai compris après pourquoi), mais comme l’ami en question est en avance sur les tendances de la tech —autant qu’il est en retard dans la vie de tous les jours (coucou Romain)—, ça m’a intrigué.
Et j’ai découvert une boîte française, rentable, plus connue aux Etats-Unis qu’en France et un discours engagé sur le besoin de lutter contre la solitude. Il n’en fallait pas plus pour avoir envie de raconter cette histoire et essayer de vérifier tout ça. Car ce succès dit clairement quelque chose de nous.
🧨 Au programme : 1339 mots pour 5’37 de lecture. Enjoy ! David.
On m’a souvent dit que la bonne idée était rarement la première. Les trois cofondateurs de Yubo peuvent confirmer cet adage car ce projet est leur troisième. Mais c’est surtout le bon. En tout cas jusqu’ici.
Reprenons donc depuis le début. Sacha Lazimi et Jérémie Aouate se rencontrent à la fac. Et ils sont persuadés d’avoir une idée de génie à la Mark Z. Ils créent une application, Saloon, qui permet de faire des groupes de chats, hypergéolocalisés, anonymes, et qui doivent permettre aux étudiants de savoir tout ce qu’il se passe autour de leur campus. Tout le monde leur dit que c’est top. Personne ne l’utilise.
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