👉 C'est le retour des fautes dans les prénoms sur les gobelets
☕️ Hello, c’est David. Vous savez que chez Starbucks, on est très content parce qu’il y a un nouveau patron, Brian Niccol. Un CEO capable, dit-on, de redresser une entreprise devenue beaucoup moins florissante ces dernières années. Ce qui est intéressant avec cette histoire, c’est que l’entreprise a créé elle-même les difficultés qu’elles rencontrent aujourd’hui, à vouloir trop optimiser, à vouloir trop rationaliser, à courir après le chiffre en oubliant ce qui faisait son succès.
L’excellent Fast Company a pu enquêter dans les coulisses de Starbucks pour tenter de comprendre comment se menait cette opération de reconquête. Et c’est plein d’enseignements.
🧨 Au programme : 1547 mots pour 7’05’ de lecture. Enjoy ! David.
Ce qui faisait le succès de Starbucks – le fameux third place (ni bureau, ni maison) – s’est effrité.
Ses cafés sont devenus des lieux bruyants, bondés, avec peu ou pas de sièges, des files d’attente interminables, et une atmosphère jugée impersonnelle.
La montée en puissance des commandes mobiles (31 % des ventes) a transformé les cafés en «zones de collecte» peu agréables. Ce qu’il faut comprendre, c’est que c’est Starbucks lui-même qui a poussé pour augmenter le nombre des commandes mobiles avec une application que toute la concurrence lui envie. Petit problème, ils ont oublié d’adapter les lieux à cette nouvelle « population ».
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