Hupster

Tous les jours, une question sur l’économie de la création et tous les mercredis une saga décryptée sur une entreprise qui cartonne 💡

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Par Hupster
30 mai · 2 mn à lire
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👀 Peut-on encore faire confiance à Sam Altman ?

👉 Parce qu'on vient de voir plusieurs aspects de sa personnalité pas très rassurants.

☕️ Hello pour aujourd’hui, on a voulu faire le point sur celui qui est censé être le « Steve Jobs » des années 2020. Sauf que… Steve Jobs lui au moins était marrant (parfois) alors qu’aujourd’hui Sam Altman, le nouveau prophète de la tech et de l’IA générative est carrément flippant.

💥 Au programme, 601 mots pour 3 minutes de lecture pas très rassurantes. Enjoy ! David.


C’est une chose d’avoir confiance en la technologie, c’en est une autre de signer un chèque en blanc à ceux qui la développent, l’incarnent et la monnayent. S’il n’y a pas de raison d’avoir peur d’OpenAI aujourd’hui, on peut s’interroger sur la stratégie de son patron, Sam Altman.

Des interrogations qui remontent à la tentative (ratée) de son conseil d’administration de l’évincer de l’entreprise. On devine que cette éviction portait sur des divergences dans la conduite des affaires d’OpenAI, Sam Altman défendant la tendance « allons-y à fond (et faisons de l’argent) » face à une ligne plus prudente, notamment concernant l’impact de l’IA dans nos vies.

Avec le retour aux affaires d’Altman, on en était resté sans guère plus de précisions. Mais là, coup sur coup, il y a trois dossiers qui viennent jeter un voile trouble sur le comportement et les objectifs du tuteur de Chat GPT. Et l’on se dit qu’il est en train de prendre l’habitude de s’arranger avec la réalité, la vérité et la transparence.

Une chose est sûre, ce n'est pas le fond d'écran de Scarlett Johansson // @Los Angeles TimesUne chose est sûre, ce n'est pas le fond d'écran de Scarlett Johansson // @Los Angeles Times

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